Un cadavre pour toutes ! Toutes pour un cadavre !

Prologue

Il était une fois une ville américaine situé à proximité d'une autre tres grande cité bien connue.Les rues de cette ville étaient le théatre d'une lutte sans merci entre les forces du bien et du mal dont aucun humain avait conscience.Chaque nuit des combats avaient lieu à l'abri des regards indiscrets, tandis que deux groupes s'affontaient dans cette guerre.
Oui le monde était en guerre, mais une guerre sans fin pendant des siècles, ou le nombre des participants ne diminuaient que d'un coté, tandis que l'autre se renflouait sans cesse de combattant aux cheveux blancs.Qui aurait cru que des vieillards étaient apte au combat?
Quoi qu'il en soit les forces diminuaient inexorablement d'un coté et meme si ces valeureux guerriers au coeur pur faisaient leur possible pour protéger leur race, la tache s'avéraient de plus en plus dure.
Ces hommes de valeur formaient la Confrérie de la Dague Noire, l'équivalent d'une unité d'elite destinée à protéger la race vampirique...

Nos amis à crocs n'ont pas fini de faire parler d'eux...

De nos jours : Cadwell...

Au suivant!!

-Bordel cop ouvre les yeux , tu m'entend , garde tes putain de yeux ouvert ... reste avec moi
-peut pas V .....tellement fatigué.....
-rien a foutre , parle moi. Raconte moi ce que tu veux mais je t'interdit d'arrêter de parler
-ou ... ou sont......les autres?
-zadiste a eut le temps de prendre Bella et Nalla et de filer dès qu'on a comprid ce qui se passait
-Mary? Beth?
-Mary était auprès de Rhage quand ils lui sont tombé dessus.... quand a Beth la dernière fois que je l'ai vue , elle avait une dague a la main et se battais au coté de Kholler
-borel.....V ....
-ouais je sais , la situation est merdique je sais pas ou sont les autres....si il y a des morts.......on a réussit a descendre plusieurs de ces salauds mais c'est devenu le chaos quand les bombes ont commencer a exploser......je sais même pas comment on a réussit a atterir ici tout les deux
-mais...comment.....
-comment ils ont réussit a nous piéger dans le manoir? ça mon pote c'est la question a deux millions.....

- C'était finalement une sacrée bonne idée de partir en vacances ....
Vishous réussit à esquisser un sourire :
- ouais , on aurait du suivre l'idée de ce putain de volatile...eh Butch ne fait pas le con, garde les yeux ouverts !
Un soubresaut agita le corps du flic , enveloppé dans les bras du vampire puis il y eut le silence... un profond silence...

- B...Butch ? Repond bordel ! Butch ? Butch ? Butch ?


SUIVANT

La sensation divine du sable sous mon cul angélique était des plus agréable sans compter le soleil de cette plage du Brésil qui me revigorait comme jamais. Et je pouvais mater sans vergogne tout ce qui passait à porter de mains….hmm…ou de bouche si l'envie m'en prenait.
Mon cocktail était délicieux, mon sang chauffé par le soleil et je pouvais me taper n'importe qui sur cette plage. Et pourtant mon esprit était en train de divaguer sur les frères au manoir.

- Bordel !

Je me relevais d'un bond. Ces connards avaient eu raison de ma résistance à m'attacher à quiconque.
Je souris en repensant à V et Butch. Ils m'avaient envoyé balader quand je leur avais proposé de m'accompagner. Après tout, les nuits ici étaient aussi chaudes que les journées, et ça leur aurait été bénéfique de prendre un peu de vacances.
D'ailleurs je comptais prendre quelques jours par an avec chacun des couples pour les décoincer un peu de leur routine.
En revenant vers l'hôtel, je sentis un vague malaise. Je secouais énergiquement la tête me disant que j'avais peut-être fait une overdose de soleil.
Pourtant, mon esprit se reporta encore sur le manoir…

Bordel c'est comme une démangeaison ce malaise, il faut que je vérifie rien que pour m'en débarrasser et profiter de mon séjour. D'ailleurs çà ne me prendra pas une journée, il y a çelà de bon a être un Ange pensais-je avec un sourire en coin.
Etat de choc. Je suis sur ne pas avoir pensé a l'enfer en me téléportant. Merde qu’est-ce qui se passe ici? Des explosions, des lessers, la reine avec un dague entre les mains.... La reine avec un dague entre les mains!!!! bouge toi le cul Lassiter!

Beth était dos à Wrath et entre eux George grognait comme une bête des enfers.
Wrath n'avait jamais eu a se concentrer autant depuis qu'il était devenu aveugle. Mais il arrivait sans problème à sentir venir les cachets d'aspirine quand ces connards trop arrogants plongeaient pour l'attaquer.
Ses sens aiguisés lui permettaient également de percevoir comment sa shellane se débrouillait, et si ce n'était pas le moment pour la féliciter comme il se doit, il était néanmoins fière d'elle.
Cette femme avait été douée quand il l'avait entrainé les quelques fois où ça n'avait pas tourné en passion débridé. Il menait quasiment une danse tous les deux et avaient réussi à en tuer une demi douzaine, aidé par George.
Wrath tourna la tête quand il sentit l'odeur de peau chauffé au soleil de Lassiter, et eu un soupir rapide de soulagement. Cet emplumé n'était pas de trop.

- Ton carton d'invitation c'est perdu en route, Lass ?! grogna t'il.
- Désolé de te décevoir, je préfère les orgies... Mais qu'est-ce qui s'est passé !?
- Les questions après, Lass ! à 2h, Wrath ! cria Beth en plongeant au sol.

Wrath se retourna d'un geste souple et lança un shuriken qui se planta pile à la poitrine d'un lesser qui venait de surgir de nulle part.
Lassiter marcha nonchalamment vers la face de craie, ramassa un pied de table qui trainait au sol et l'utilisa d'un bras, comme s'il donnait une pitchenette, en plein sur le shuriken qui s'enfonca plus profondément. Beth arriva en courant et planta sa dague dans la poitrine du lesser.
Fine équipe.

- Je dois vous faire sortir de là, maintenant ! lança Lass.
- Non ! crièrent le couple royale en même temps.
- Pourquoi personne ne m'écoute jamais...soupira Lass.
- Il faut que l'on retrouve les autres. Le feu s'est déclaré aux étages. nous ne savons pas qui a pu sortir et combien sont encore au manoir, commença le roi. Beth tu...
- Non !! Il en est hors de question je reste avec vous !! N'y songe même pas !!
- Hmmm...en fait je pense que...commença Lassiter.
- La ferme Lass ! grogna Wrath

Xcor au loin sur la colline comtemplait le spectacle de l'immense batisse d'ou s'échappait des volutes de fumée.Il se disait que le directeur des faces de craies devait sans doute avoir été un ancien soldat pour planifier cette attaque.Xcor était en pleine panique, oh non pas pour le roi mais si des femelles étaient à l'intérieur, Xcor se sentait mal au plus haut point.

Heureusement que l'Elue de son coeur était bien à l'abri occupée qu'elle était avec son médecin pour une visite de routine lui avait elle dit.Elle devait ensuite retrouver des femelles pour une fete en l'honneur du jeune.Il s'était assuré qu'elle ne serait pas dans les parages quand l'attaque aurait lieu.Mais tout de meme il ne s'attendait pas à ça.
Déja que le roi le voulait mort, Xcor se demandait ce que ferait le roi si par chance il s'en sortait indemne et qu'il apprenait l'origine de la brèche.

Il savait que quelques guerriers devaient se trouver en centre ville à patrouiller comme tous les soirs, il avait reçu une confirmation de Throe qui avait vu Tohr dans une ruelle, les autres ne devaient pas se trouver loin.Il rit intérieurement en se disant que les Frères étaient loin de l'action.

Le fait de penser à Tohr lui fit un pincement au coeur, il se rappelait quand ce dernier avait voulu se suicider plus d'un an auparavant.Remarque vivre avec la Confrérie pourrait pousser plus d'un à commettre l'irréparable.Tout de meme il se demandait ce qui avait pu lui arriver.Bizarrement il était satisfait de le savoir loin du chaos
Dire que toute sa vie il s'était cru le fils de sang du Bloodletter, son fils adoptif certes, celui qui l'accepté d'emblée pour suivre sa trace, mais il se souvient encore du choc de la nouvelle.Tout ce en quoi il avait toujours cru s'effondrait subitement.Heureusement il s'etait battu toute sa vie et ne regrettait pas d'avancer.Quand il pensait aux yeux de sa poupée blonde il se dit que la vie réserve parfois des surprises, et il était près à acceuillir un enfant qui n'etait pas le sien...

Il repensa à Layla...Il l'avait vu partir dans la mercedes avec la meme équipe que la dernière fois.Il se demandait lequel des deux était le père du jeune, si tenté que ce soit un de ces deux là...

j'étais vexé par l'insulte ,bien qu'on m'a déjà donné d'autre surnom encore pire(lass la ferme, lass emplumé, lass bordel, lass madame soleil....) Vu que le roi se débrouillait avec sa reine, je me dirigeai à l'intérieur du manoir pour trouver d’éventuel survivant.

A peine avais-je fait un pas dans le hall du manoir ,que j'étais léché par les flammes. La fumée m’empêchait de respirer, je du me téléporter dans une des chambres à l'étage, encore intacte. Des flammes rougeoyaient içi et là dans le couloir, que je pris tout en hurlant. Je continuai mon inspection tant que je le pu. Puis la suffocation m'obligea à retourner au dehors.

La première chose que je constatai fut l'arrivée de Tohrment et les autres frères. Les lessers n'étaient plus là. Mon soulagement fut de courte durée lorsque je vis un des guerriers etendu à terre, entouré par les autres. L’atmosphère était plus glacial qu'au pole nord.

Je m’avançai, prudemment, et remarquai que c'était Butch . V le tenait dans ses bras et il psalmodiait son nom. Il paraissait vieux de plusieurs millénaires.

Monsieur D au volant de sa camionette , roulait a vive alure , impatient de décharger son double colis a destination. Bien que le guerrier soit inconscient et loin de pouvoir se reveiller , il était inquiet. Ce n'était pas tout les jours que la lessening société mettait au point une telle opération. Lorsqu'il était partit du chateau tout semblait se dérouler comme Monsieur X l'avait annoncé. Il n'en revenait pas d'ailleur . Certe beaucoup de lesser y avait laisser leur vie mais ils avaient réussit a capturer l'un des frères et par dessus le marché ils avaient put prendre en même temps sa shellane . Si le guerrier voulait la revoir vivante il n'aurais pas d'autre choix que de parler. Monsieur D se demandait si l'oméga se chargerais lui même du guerrier , il faudrait au moin ça pour faire face au dragon qui risquait a tout moment d'aparaître....en tout cas ça ne le concernerai pas . Finalement il n'était pas mécontent de ne faire partit que des petite main.

- Merde! Merde! et remerde! s'exclama tout bas Lassiter
- V il faut l'emmener a la clinique de Havers mon frere dit Tohr en s'approchant prudemment.
- Non gronda V
- Il le faut affirma Tohr avec détermination, le manoir est en feu et bien que les lessers soient partit, rien ne nous dit qu'ils ne vont pas revenir avec plus de renfort. Donc tu dois l'emmener en sécurité et accesoirement dans un endroit ou il pourra se faire soigner. Tohr avait debiter cela sur un ton raisonnable, posé avec toute l'autoritee qu'il fallait.

- Oui tu as raison, il besoin de soin.

Entre temps.

Rhage revenait peu a peu a lui. Il sentit quelque chose de dur sous lui, il prit conscience d'un étirement dans ses bras. La première chose qui lui vint a l'esprit c'est qu'il n’était pas dans leur chambre au manoir. la deuxième c'est qu'il était en danger. Et d'un coup tout lui revient. L'attaque, les lessers dans le manoir lui tombant dessus avec sa Mary. Non, non, Mary! Un cri qu'il n'osa pas laisser sortir. Mais la bête n’était pas trop loin.

Le guerrier se sentait balancé de partout, son crâne vrillait d'une forte migraine. Tandis qu'il sentit son corps rouler sur une surface de taule et son dos rentrer violemment en contact avec une barre de métal, Rhage tenta avec difficulté de desserrer ses liens. Ce faisant il attira l'attention d'un des lessers assis à l'avant de la camionnette ou du fourgon derrière lequel on l'avait semblait-il ficelé. Il n'eut le temps que d'apercevoir le reflet d'une aiguille avant que celle-ci ne s'enfonce dans le biceps de son bras droit. Se sentant vacillé, la dernière pensée du mâle avant que les ténèbres ne l'engloutissent fût pour sa chère et tendre qui lui avait été enlevée. Le grondement de la bête diminua d'intensité mais resta bien présent dans le subconscient du soldat tandis que ses paupières se fermèrent.

(je sais pas si le jeu est encore d'actualité, mais je poste quand même du coup. ^^)


Le vampire se sentait étrangement tranquille cette nuit là, sirotant une infusion reposante en feuilletant son petit carnet. La nuit avait été calme, et très peu de chose avait nécessité son intervention, le laissant dans le silence reposant de son bureau quand il ne sortait pas dans les couloirs pour surveiller l'organisation interne de sa clinique, qui grâce à de nombreuses heures de travail, s'était agrandie et commençait à ressembler de plus en plus à un véritable centre médicale compétent.
Un fin sourire se dessina sur ses lèvres quand il repensa à tous les efforts qu'il avait dut mener, et une bouffée de fierté envahit sa poitrine. Il posa son carnet et resta relativement surpris devant ce sentiment qu'il n'avait plus ressentit depuis de nombreux mois, accablé comme il l'était face à tous les problèmes qui lui étaient tombés dessus face au comportement de plus en plus irresponsable de sa soeur. Il avait eu tort de vouloir à tout pris faire reposer tous ses espoirs sur ses épaules... Il n'aurait pas connu cette déchéance s'il ne s'était appuyé que sur son travail personnel, et non sur la réussite sociale de Marissa pour se forger un nom et une digne réputation dans les rangs de la Glyméria.

Il sursauta quand l'alarme lui vrilla soudainement les tympans, et se précipitait vers la porte avant même de se demander pourquoi les urgences survenaient toujours dans les moments de paix intérieure qu'il n'expérimentait que rarement... Il fit fie de ses pensées pour se rendre immédiatement dans le grand hall, où sa respiration se coupa brusquement quand une main ferme et agressive empoigna sa mâchoire. Il entendit un grognement bas et rauque à son oreille qui fit naître un long frisson le long de sa colonne vertébrale, et le propriétaire de la main grogna plus qu'il ne parla:

- Vous avez intérêt à lui sauver la vie doc, ou je vous jure sur ma vie que vous ne sortirez pas plus vivant de ce bloc que l-
- V, ne le terrorise pas.

La main le lâcha après un temps de retard durant lequel il n'osa pas respirer, et la masse noire qui se dressait devant lui, imposante et glaciale, recula suffisamment pour qu'il puisse prendre une inspiration un peu tremblotante. Il releva les yeux et frémit devant le regard diamant glacial, où se notait pourtant une étincelle perdu de folie sous-jacente. Havers tenta de retrouver son calme devant les guerriers qui le regardaient gravement, et fit un signe à l'une des infirmières près du couloir qui les regardait, terrifiée, la poussant à préparer un bloc le plus rapidement possible. Il ne chercha pas à comprendre et posa les questions professionnelles d'un ton dur et concentré, essayant de voir par delà le corps imposant du frère pour voir le blessé qu'il allait devoir sauver au péril de sa propre vie -s'il devait prendre au pied de la lettre la menace précédente :

- Quel type de blessure ?